
Pourquoi Dunkerque va devenir le 1er HUB CO2 de France ?

L’ambition de faire de Dunkerque le 1er HUB CO2 ET H2 est partagée par tous les acteurs institutionnels et socio-économiques du territoire. Avec ces infrastructures déjà existantes et les nombreux projets à venir : la décarbonation de l’industrie française passera par Dunkerque !
En téléchargeant la brochure, vous découvrirez comment Dunkerque se prépare à accueillir la filière industrielle de la décarbonation et de la production d’hydrogène.
N’attendez plus et découvrez les opportunités offertes par la décarbonation de l’industrie !
QUELS SONT LES ATOUTS DE DUNKERQUE POUR L’ACCUEIL DES ACTIVITÉS DECARBONÉES ?
- Des industriels en quête de solutions de décarbonation,
- Des gisements de co-produits à valoriser,
- Des infrastructures déjà existantes,
- L’accès à une énergie bas-carbone et renouvelable,
- Un territoire dynamique et ambitieux tourné vers la transition énergétique,
- Des symbioses industrielles éprouvées.

Un territoire lauréat de l’Appel à Projet ZIBaC
Les grandes zones industrialo-portuaires du Havre, Marseille ou Dunkerque sont historiquement très émettrices de CO2. Trouver des solutions pour décarboner ces zones pour parvenir aux objectifs de -30% d’émissions en 2030 et de neutralité carbone en 2050 est indispensable pour l’atteinte des objectifs climatiques : la décarbonation de la France passera par Dunkerque !
Pour Patrice Vergriete, Président de la Communauté urbaine de Dunkerque, l’agglomération doit passer de « premier émetteur de CO2 » à « premier émetteur de solutions » et s’affirmer comme un pionnier de l’industrie décarbonée de demain.
Dunkerque est lauréate du tout premier appel à projets « Zones industrielles bas carbone » (ZIBaC). Instauré par le ministère de l’Industrie via l’Agence de la Transition écologique (ADEME), le dispositif ZIBaC permettra de réaliser des études d’ingénierie et de faisabilité relatives à la réduction des émissions carbone, avec un budget de 27,2 millions d’euros, dont une subvention allouée par l’ADEME à hauteur de 50%, soit 13,6 millions d’euros.